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Elle l’accuse de viol, son Fitbit démontre que c’est faux

Une femme a déclaré à la police avoir été victime d'un viol dans son domicile alors qu'elle dormait. C'était sans compter sur son tracker d'activité qui a démontré qu'elle mentait.

C'est rare, mais c'est parfois vrai. Un homme s'est vu injustement accusé de viol aux Etats-Unis par une femme. Celle-ci a appelé le 911 et affirmé s'être fait violé par une personne s'étant introduite à son domicile. Selon ses dires, elle se serait réveillé vers minuit avec un étranger au-dessus d'elle et qui aurait commis son méfait. Pendant qu'elle se débattait, elle aurait fait tomber son tracker d'activité.  Oui, mais voilà, quand les autorités on retrouvé le fameux tracker, les résultats de son suivi n'étaient pas conforme à ses dires. Le Fitbit l'a enregistrée éveillée et, pire encore, active et se déplaçant tout au long de la nuit. Combiné à d'autres éléments incohérents, la police en a conclu qu'elle mentait et l'enquête s'est arrêtée là.

Ce n'est pas la première fois que les autorités ont utilisé les données d'un tracker comme preuve. L'année dernière, un cabinet d'avocats canadien s'en était également servi pour défendre un client. Bien entendu, ces données ne sont pas toujours exactes à 100% et ne doivent pas devenir le seul élément de preuve susceptible de faire condamner quelqu'un. Reste que dans un monde toujours plus connecté, les objets de demain pourraient faire la différence et qui sait, éviter des erreurs judiciaires.

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